La Tribu HaldGuerrier et assassin

Informations générales

Cette tribu se spécialise dans l’art de la guerre et quiconque ne peut y participer est inutile à la société. Du moins c’est ainsi qu’ils voient les choses. Ils sont très fier de leur connaissance martial, et ne pas se diriger dans cette voix est un affront, que dis-je, un rejet de ce qu’est le Hald aux plus profond de son être.

Que ce soit dans le maniement des armes ou l’élaboration de stratégie, leur travail consiste notamment à maintenir la paix entre les différentes tribus qui peuplent le long du Rìgan.
S’ils sont les protecteurs des autres tribus, ils en sont aussi la plus grande menace, car celui qui protège peut également décider de détruire.

Il s’agit d’un peuple qui valorise beaucoup la force et la puissance. Les exploits au combat sont symbole de notoriété et toute action posée est mesurée en fonction de la gloire qu’elle pourra apporter.

Climat :

L’été est très long et extrêmement chaud tandis que l’hiver est particulièrement court et tempéré. La température est généralement plutôt sèche sauf près de la mer et de la rivière. S’il fait extrêmement chaud de jour, la nuit peut être particulièrement froide avec les vents qui balaient les dunes. Les tempêtes de sable sont fréquentes et ravageuses.

Géographie :

Longeant la côte est du continent, le territoire couvre les deux péninsules qui entourent le fleuve Rìgan avant de déboucher dans la mer.
Plus avant dans les terres, au nord du fleuve, on trouve un large désert de pierres, parsemé de grottes souterraines et de crevasses avec quelques terres arables dans la vallée du fleuve, alors qu’au sud on retrouve une longue étendue de sable et de dunes.

Nuada : (chef de tribu)

Poste à pourvoir.

Le peuple : Halds, Haldes

Les Halds vivent en ville condensée et bien que leur fonction de guerriers pour le plus grand nombre les amène à devoir se déplacer, leurs cités sont pour le moins concentrées. Peuple très sédentaire en-dehors des missions qu’ils reçoivent, ce sont des gens très organisés.
Conditionné à obéir dès leur plus jeune âge, les Halds forment une population peu belliqueuse et très coordonnée dans ses accomplissements ce qui les rend particulièrement efficace.

Plutôt conservateurs, ils ont quelques difficultés à s’adapter aux nouveautés et il leur éducation très encadrée fait d’eux de pauvres inventeurs. Ils sont également bornés et têtus, les faire changer d’avis relèvent de l’exploit surnaturel.
Leur profession les amenant souvent à être gravement blessé dans leurs pérégrinations fait des Halds la tribu dont l’espérance de vie est la plus basse.

Ils sont:

♦️.Respectueux, Organisés, Courageux, Loyaux, Déterminés
♦️.Butés, Fermés d’esprit, superstitieux, sanguins, susceptibles



La politique

Système et organisation: :

Les Halds valorisent le respect d’une hiérarchie très complexe dont le sommet est un chef qui possède tous les pouvoirs décisionnels avant de les délégués à ses nombreux subalternes. De tradition, la position de chef est occupée par un homme qui représente la vigueur et la force, mais aussi la protection.
La succession du pouvoir se fait par la force, lorsqu’on estime que l’homme en place n’est plus en mesure d’assurer la sécurité de la tribu, celui-ci est remplacé par plus fort que lui.

Le pouvoir du chef de la tribu est sans équivoque et on ne peut remettre en question son autorité. Dans le cas de révolte, l’usage de la force ne sera pas réprimée pour faire rentrer dans les rangs les éléments dissidents, quitte à s’en débarrasser s’ils résistent trop. Il peut être conseillé par ses subalternes, généralement des guerriers émérites sur le champ de bataille, champions dans le maniement des armes et l’établissement de stratégie.
Juste sous le chef de la tribu, on retrouve deux autres hommes, l’un en charge de la diplomatie avec les autres tribus, l’autre étant responsable de la gestion des différentes divisions de guerriers.

En ce qui concerne les clans, ceux-ci sont également dirigés par des guerriers, choisis par le chef de la tribu en fonction de leurs aptitudes au combat.
Bien que le pouvoir soit centralisé, les différents chef de clans sont à même de régler eux-mêmes les questions internes à leur propre clan malgré le fait qu’ils doivent en faire la mention au chef de la tribu qui pourra annuler toute décision prise s’il n’est pas en accord avec celle-ci.

Relations avec les autres tribus:



•. Njord: La relation entre Halds et Njords n’a jamais été très agréable. Vivant sur une terre aride où on ne peut rien faire pousser ou presque, les Halds ont toujours eu un désir d’acquérir une part du territoire luxuriant des Njords.
Les paix signées entre les tribus empêchent de se déclarer la guerre, le moto des Halds étant aussi de protéger tout le monde, aucun conflit armé ne se déclare entre les deux tribus.

Néanmoins, les tentatives de constructions de villes de plus en plus près des terres agricoles intensifie la tension qui les unit toutes les deux.

•. Luspa: Leur relation avec les Luspiens est plutôt bonne. Ce sont eux qui les fournissent en armes et en armures.
La nature créative et innovatrice de la tribu d’artisans complète bien le caractère borné des Halds et la distance qui les séparent ne fait que jouer en la faveur de leur bonne entente, d’autant plus que les Luspiens, futés, savent très bien que le progrès ne doit être présenté à l’autre tribu que peu à peu et qu’un changement trop brusque les mécontenterait.

•. Dunnan: Si les Halds entretiennent une excellente relation avec les Duniens, c’est parce qu’ils dépendent absolument d’eux pour leur alimentation. La croyance veut que pour bien grandir et devenir un guerrier puissant, il est essentiel de consommer beaucoup de viande.
Ils représentent donc des clients très assidus des Duniens. Leur bonne entente ne s’arrête pas qu’à des questions pratiques, mais aussi à certains de leurs traits de caractères et points de vue qui convergent.

•. Eïr: Les Halds ont une relation qui se base plutôt sur la dépendance avec les Eïris.
La tribu étant majoritairement constituée de guerriers, celle-ci fait particulièrement appel aux talents de guérisseurs de l’autre tribu.
Néanmoins, bien que la relation soit emplie de respect mutuel, leurs opinions divergentes concernant leurs diverses moeurs, notamment au sujet des femmes et leurs pensées sur la sexualité, empêche de rendre leurs rapports plus cordiaux et on ne pourrait pas parler de tribus amies.



Coutumes et mode de vie

Il est coutume pour les membres de la tribu d’adresser ses prières et sacrifices à Alrunn, patron de la force et du courage, deux virtues prédominantes dans la société halde.

Pour les Halds, la relation entre homme et femme se limite au devoir de la tribu de se reproduire et de renouveler les rangs.
Ainsi, il n’est pas question de relations sexuelles hors mariage, le sexe étant extrêmement sacralisé. Une femme qui se serait laissée séduire par un homme avant l’union matrimoniale serait déshonorée et répudiée par sa famille.
Dans le cas d’une femme guerrière, la société se montrera plus laxiste, mais il n’en restera pas moins qu’elle sera peu estimée et qu’elle perdra toute la distinction que pouvait lui apporter sa classe.

Les personne ne sachant ou ne voulant pas se battre sont très mal considérées, moquées et dénigrées à l’extrême. Souvent les femmes guerrières n’enfantent pas, car cela amoindrit leurs capacités et les affaiblissent pendant de nombreux mois ce qui est intolérable dans ce genre de société. Si les Halds se sont pas tendre avec leurs femmes, ils en sont très fiers et ils ne tolèrent que personne n’en disent du mal. Ce droit leur est octroyé à eux-même.

On verra même parfois les femmes guerrières s’en prendre aux mères porteuses. Les femmes qui ne sont ni guerrière, ni destinée à un jour être mère sont particulièrement regardée de haut, puisqu’on les considère inutile à la survie de la tribu.
Celle-là n’ont aucun statut et non pas le droit quitter la tribu et elles sont bien cachées au reste des tribus qui ne connaissent rien de leur existence.



Habitations :

Les Halds vivent dans des villes fortifiées et concentrées.
Au nord du Rìgan, ils construisent leurs habitations à même les grottes qui parsèment le territoire. Ils favorisent les portes rondes et colorées.
La pigmentation de la porte permet alors de reconnaître les membres d’une même famille. Il n’est pas rare également que des galeries unissent deux différents foyers.

Au sud du Rìgan toutefois, ils vivent plutôt à l’intérieur de hautes maisons en pierres. Elles sont généralement dotées d’une cave sous le sol où entreposer la nourriture.
Les fondations sont souvent de forme circulaire et la ville s’organise de rues qui encerclent son centre, siège des décisions.
Leurs édifices sont faits pour résister aux attaques du temps, mais aussi à celles de toute force extérieure assez inconsciente pour s’en prendre à eux.

Fêtes:

La fête des esprits :

Lors de cette fête, un tournoi s’étalant sur une semaine est organisé en l’honneur des esprits de l’eau et de la pluie.
Ces combats ont lieu pour s’attirer leurs faveurs sur la tribu.
Le vainqueur des combats se voit alors uni par les liens du mariage avec l’esprit de l’eau pour la durée d’une année.

Au dernier soir de la fête, après la cérémonie unissant le vainqueur à l’esprit de l’eau, des lanternes sont déposées le soir dans le désert et allumées, créant ainsi un océan de flammèches destinées à calmer les esprits et d'apporter leur bonne faveur.
L’objectif de la fête est notamment d’amener la pluie sur ces terres sèches et arides, où l’eau est une denrée presque aussi précieuse qu’en d’autres endroits l’est l’or.

L’avènement du Nuada :

S’il s’agit de la plus importante coutume des Hald, il n’y a pas de jour fixe pour cette tradition.
Lorsqu’un individu ou le peuple considère que le Nuada de la tribu n’est plus en mesure de la protéger et qu’il n’est plus apte à gouverner, tout guerrier peut décider de provoquer en duel le Nuada en place pour prendre sa position.

La coutume veut que lorsqu’un Nuada est défié, celui-ci l’est anonymement.
Le prétendant à la couronne doit apporter à la faveur de la nuit un cadavre de coyote aux portes du palais. Il est d’usage de chasser soi-même l’animal, seul, de préférence le chef de sa meute.
Le chasseur peut se faire accompagner d’un témoin pour prouver de sa bonne volonté. Le choix se porte sur le coyote puisqu’il représente un des animaux les plus dangereux du désert et qu’en le tuant, on montre déjà être capable d’assurer la protection de la tribu.

Le combat a lieu six jours après la déclaration anonyme, pour laisser le temps au Nuada en place de se préparer à l’affrontement, mais aussi pour que les Halds vivant à l’extérieur de la cité centrale aie le temps de venir y assister.
Le duel a lieu dans une arène de taille immense où l’on y répand des armes, mais aussi des pièges.
Les deux duellistes doivent prouver qu’ils sont aptes à résister au danger apparent, mais aussi à celui qui se cache. Il arrive parfois que des bêtes sauvages et affamées soient relâchées dans l’arène.
Le combat ne s’arrête que lorsque l’un des combattants succombent sous la lame de son adversaire. Le vainqueur garde le titre de Nuada.

Rituel:

Naissance :

La natalité chez les Halds est très contrôlée en raison de leur mode de vie très organisée. Les seules femmes qui sont autorisées à porter la vie en leur sein sont celles qui sont mariées aux guerriers.
Bien qu’il arrive que les couples privés de cet insigne honneur enfantent, c’est souvent dans le secret puisque la tribu a à coeur de produire de beaux bébés forts et sains pour devenir de futurs puissants guerriers.

Lorsqu’un enfant naît, il est de coutume de tenir une cérémonie. Le clan entier de l’enfant se réunit pour assister à son ildedap cinq lunes après la naissance.
Le shaman se charge d’allumer un énorme bûcher autour duquel s’installent en position agenouillée les Halds.

L’enfant se retrouve au centre de ce cercle, près du feu, porté par son père. À l’aide d’une aiguille en os, le shaman se charge de piquer le talon du nourrisson et de recueillir quelques gouttes de son sang pour l’offrir en offrande au feu. Par la suite, le père s’entaille lui-même la paume de la main et verse de son sang dans un bol en grès.
Avec celui-ci, le shaman trace des signes protecteurs sur le front et les avant-bras du poupon. Ce qui n’aura pas été utilisé de la sève prélevé au géniteur sera versé dans le feu à son tour. La légende veut que tout nouveau-né est protégé des maladies intérieures grâces au feu et que le sang de son père sur sa peau est un sort de protection pour en faire un guerrier valeureux et puissant.

Passage à l’adolescence :

Enfant, un Hald n’a rien à prouver à la tribu et peut s’attendre d’en recevoir la protection.
Néanmoins, à l’aube de la puberté, il est temps pour lui de faire ses preuves et de montrer sa valeur guerrière. Vers l’âge d’environ dix ans, les jeunes Halds sont visités d’un rêve prémonitoire envoyé par les esprits.

Une fois le rêve fait, celui-ci est amené à l’un des shamans de la tribu afin qu’il en fasse l’interprétation. Au coeur de celui-ci se cache le nom de guerrier de l’aspirant, mais pour qu’il lui soit dévoilé, il doit le mériter. Pour prouver sa bravoure, il passe la nuit dans l’une des grottes où la concentration d’esprits est plus forte qu’ailleurs.
S’il en ressort le lendemain matin sans être souillé, il obtient le droit de commencer son apprentissage en tant que guerrier et pourra gagner son nom à la fin de son apprentissage.
Si toutefois il ne réussit pas, il sera envoyé dans une autre tribu pour revenir armé d’autres savoirs utiles à la tribu bien qu’il sera privé de gloire et d’honneurs toute son existence.

Mariage:

Pour les Halds, l’institution du mariage est particulièrement importante.
Un Hald n’aura jamais de relations sexuelles extra-maritales, la fidélité étant l’une de leurs valeurs les plus ancrées dans leurs moeurs.
Plus qu’un témoignage d’amour entre deux individus, il représente surtout un moyen de contrôler les naissances afin que les effectifs de la tribu ne prennent pas de l’expansion trop rapidement ou ne diminuent pas de façon drastique.

Ainsi, la cérémonie est plutôt simple. Célébrée par un shaman, elle a souvent lieu dans un temple d'Hilde. La mariée est toute de rouge vêtue, une couleur qui symbolise la chance, revêtant une longue tunique simplement décorée par des lacets de cuir et une corde lui ceinturant la taille.
Les cheveux sont remontés de sorte à ce qu’on ne les voit pas une fois couvert des voiles opaques qui dissimulent la jeune épouse à l’assemblée. L’homme revêt sa tenue guerrière, symbole de son prestige et de la place qu’il occupe dans la société.

Lorsqu’un homme ayant fait son apprentissage dans une autre tribu, celui est considéré comme n’étant pas de la bonne matière à mariage. Lorsque l’un d’entre eux se voit malgré tout choisi pour être l’époux d’une femme, il est forcé de porter ses habits de travail, symbole de sa disgrâce.
La dame est portée de la maison paternelle par les membres masculins de sa famille jusqu’au temple. La tradition veut que le père de la mariée présente des cadeaux au père du marié en tant que dot.

C’est le moment le plus important de la cérémonie. Il est alors suivi par l’échange de promesse entre les deux époux.
Généralement, le contenu est le même, il s’agit pour l’homme de jurer protection à la femme tandis que la femme s’engage à servir et obéir à son époux.

Une fois la cérémonie terminée, les membres masculins de la famille de l’époux porte la femme jusqu’à sa nouvelle demeure.
Elle ne doit pas toucher le pied à terre avant que le mariage ne soit consommé, autrement cela porterait malheur au jeune couple. Le mari la rejoint donc afin de prendre son dut. Il est de coutume de découper la tenue de mariée : en la rendant inutilisable, cela prévient la jeune femme de jamais se remarier.

Rites funéraires :

Autrefois, au temps de la guerre, à la mort d’un grand guerrier, l’on organisait un énorme festin afin d’honorer le défunt et ses exploits.
Les ennemis étaient eux aussi invités à se joindre à leur table, en montre de respect envers l’âme perdue. Une fois les vivants rassasiés une dernière fois en compagnie du disparu, la coutume voulait qu’on brûle le corps du guerrier sur un énorme bûcher en compagnie de ses armes pour qu’il puisse toujours se défendre une fois dans l’au-delà.

Désormais, les services des guerriers n’étant plus autant sollicités, on se contente de prendre un repas avant d’incinérer le mort.
Les flammes s’accompagnent souvent de chants guerriers menés par le shaman local. Ainsi le défunt trouve plus facilement le chemin vers l’autre monde et il ne restera pas en âme errante sur cette terre. Pour ce qui est des membres de la tribu qui n’auraient pas eu la vocation d’être soldat, on se contente de les incinérer en silence, car on ne croit pas leur esprit assez fort pour échapper à l’appel de l’au-delà.



Habits et Ornements

Les guerriers Halds préfèrent arborer des tenues de cuir qui protègent le corps pendant les combats, mais qui n’en gêne pas les mouvements non plus. Ce sont des habits très simples sans fioritures.
On retrouve quelquefois chez les mieux nantis quelques motifs gravés à même le cuir, des peintures guerrières illustrant les hauts faits de ses propres ancêtres. Dans le cas de guerriers bien reconnu, il y a parfois quelques touches de couleurs, notamment du rouge, la couleur du sang, qui représente le courage de celui qui la porte.
Certains hauts placés auront quelques morceaux d’os ici et là utilisés comme ornement décoratifs sur leur armure.

Les femmes qui ne prennent pas le rôle de guerrière et deviennent mère se vêtissent avec des tuniques longues de coton fin.
Les vêtements, doux et agréables, couvre l’entièreté de leur peau, la protégeant contre le dur soleil du désert, mais aussi des regards des indiscrets. Certains hommes exigent de leurs épouses et de leurs filles de couvrir leur visage d’un masque.
La coutume est presque unanime dans le cas de femmes enceintes : le masque évite que des esprits ne viennent dérober à l’homme occupé à combattre sa femme et son enfant.

Fonction

Pour les étrangers les formations consistent en 5 ans d'apprentissage général, souvent accès sur l’auto défense et les techniques de base pour savoir se protégées. 1 ans de spécialisation.

Pour les natifs, les enfants sont plus ou moins tous formé aux combats, ou du moins à apprendre des gestes de base leur permettant de savoir un minimum se défendre. A 7 ans, ont les forment au combats de façon plus rigoureuse et à 10 ans juge de leur aptitude et capacité à suivre une formation militaire ou non (mais également de l’envie de l’enfant à faire cela.
Si la motivation n’y est pas, cela peut s’avérer dangereux pour tout le monde.)

Liste de métiers possibles:

•.Guerrier et soldat.
•.Assassin (Inaccessible pour ceux n’étant pas de cette tribus)
•.Garde du corps : Garde d’une seule et unique personne et garant de sa protection. Il peut soit changer de maître et vaquer au file des contrats, soit jurer allégeance à une seule et même personne qu’il servira toute sa vie (même si c'est bien plus rare au vu des implications que cela sous entends.)
•.Gardien : Garde d’un lieu ou d’un objet. Dévoué corps et âme à leur cause.
•.Protecteur : S’assure du respect des lois et de leurs applications, sur le terrain.